Partenaire de CIEUX, Les Amis de Givat Haviva - France représente ce lycée en Israël qui accueille des élèves israéliens, palestiniens et de toute religion dans le monde. Les Amis de Givat Haviva - France publie une interview en français de Anwar Abou Eisheh, ancien ministre de l'Autorité palestinienne et négociateur d'Oslo. Celui-ci répond sans langue de bois et en français aux questions posées par les journalistes Michel Taubmann et Emmanuelle Elbaz-Phelps sur sa vision de l'avenir et le rôle des Palestiniens dans le processus de paix. L'enregistrement est mis à la disposition des Amis de Givat Haviva - France par Shalom Salam, réseau international animé par Michel Taubmann. ... Voir PlusVoir Moins
TROIS FILMS, TROIS FEMMES, UN MESSAGE : AUX OSCARS, LA PALESTINE NE SERA PAS EFFACÉEPar Libby Lenkinski, HaaretzL’auteur de la chronique met en lumière trois films récents, réalisés par des femmes de différents pays arabes, en lice pour des récompenses internationales telles que les Oscars. Selon elle, ces œuvres partagent un message commun puissant : elles contribuent à faire vivre et entendre l’histoire et l’expérience palestiniennes sur la scène mondiale, là où certaines représentations dominantes tendent à les marginaliser ou à les effacer.Les trois films et leurs créatricesThe Voice of Hind Rajab, réalisé par Kaouther Ben Hania (Tunisie), raconte la tragique histoire d’une fillette palestinienne tuée durant la guerre à Gaza. Le film met en avant la dimension humaine derrière les chiffres des victimes et donne voix à ceux qui sont souvent réduits à des statistiques. La projection du film dans de grands festivals a suscité une émotion intense.Palestine 36, réalisé par Annemarie Jacir, est un long métrage historique qui explore des moments clés de l’histoire palestinienne. Il recontextualise le présent dans une continuité sociale et politique souvent oubliée et replace la narration palestinienne dans un cadre plus large, au-delà des gros titres médiatiques.All That’s Left of You, réalisé par Cherien Dabis, suit plusieurs générations d’une famille palestinienne, soulignant le poids de l’histoire collective et la persistance de la mémoire face aux conflits et à la violence. Le film constitue une expression cinématographique forte d’une culture qui refuse d’être réduite au silence.Le message commun des filmsSelon la chronique, ces trois films, portés par des femmes créatrices, offrent une narration palestinienne directe, incarnée et profondément humaine. Ils ne se contentent pas de raconter, ils font voir et ressentir.En les présentant aux Oscars et autres cérémonies internationales, ces œuvres transmettent un message clair : la Palestine n’est pas un sujet effacé ou secondaire dans les récits culturels mondiaux. Ces films mettent en lumière des histoires humaines derrière des conflits politiques complexes, des histoires qui pourraient autrement rester invisibles pour un public international.Une lecture politique et culturelleL’article souligne que le cinéma devient ici un véritable espace de résistance narrative. Là où le discours politique peut rendre invisibles les expériences des Palestiniens, le cinéma les incarne et les expose sur une grande scène artistique.Le fait que ces films soient réalisés par des femmes est également mis en avant comme un élément fort de la prise de parole. Ces voix féminines restituent des histoires profondément humaines, précises et sensibles, et bousculent les attentes du spectateur. ... Voir PlusVoir Moins
Le Hamas aurait stocké ces produits dans un entrepôt dépendant du ministère de la Santé à Gaza afin de renforcer son discours sur une famine orchestrée par Israël
Amnesty International a accusé jeudi pour la première fois le Hamas et d'autres groupes armés palestiniens d'avoir commis des crimes contre l'humanité, dont celui d'"extermination" lors de l'attaq...
Un archéologue décrit pour la première fois les dégâts subis par le site classé au Patrimoine mondial de l’Unesco lors des combats à la frontière entre la Thaïlande et le Cambodge, du 24 au...
Une extension de votre navigateur semble bloquer le chargement du lecteur vidéo. Pour pouvoir regarder ce contenu, vous devez la désactiver ou la désinstaller.
Très joyeux anniversaire à Blandine en ce 9 décembre ! Blandine est la doyenne des volontaires. Pour être éligible au Service Civique, il faut avoir moins de 26 ans. Blandine a été recrutée par CIEUX le 9 septembre 2025, soit trois mois jour pour jour avant son 26ème anniversaire. Soit juste à temps pour accomplir un édifiant volontariat au service de la francophonie en Egypte, avec CIEUX et l'Institut français à Alexandrie. Photo : le 9 novembre 2025 au Lycée français d'Alexandrie : Blandine aux côtés du Proviseur Christophe Nerrand, de Bruno Jarry, Directeur des classes primaires, d'Odile et Alexandre Vigne, association CIEUX. ... Voir PlusVoir Moins
Après son exil en Égypte, l’émir Khaled (1875-1936) — petit-fils du célèbre émir Abd el-Kader, figure majeure de la résistance à la conquête française puis grand penseur soufi — apparaît en 1924 comme l’un des premiers leaders musulmans algériens à défendre une véritable application de la laïcité dans l’Algérie coloniale.Issu d’une lignée prestigieuse et profondément attaché à sa foi musulmane, l’émir Khaled s’est engagé très tôt pour une meilleure intégration politique et civile des musulmans d’Algérie dans la République française. Volontaire au sein des goumiers du colonel du Jonchay, il se distingue durant la Première Guerre mondiale et reçoit la croix de guerre, ce qui nourrit son exigence d’égalité : les Algériens morts pour la France doivent, selon lui, être reconnus comme des citoyens à part entière.Sur le plan politique, Khaled est l’un des rares élus musulmans du conseil municipal d’Alger. À la tête de la Fraternité algérienne, il porte des revendications nouvelles, courageuses, parfois perçues comme subversives par l’administration coloniale : davantage de droits civiques, fin des discriminations, élargissement de la citoyenneté et respect des libertés publiques. Ses positions dérangent tant qu’il est exilé en Égypte en juillet 1923.L’arrivée au pouvoir du Cartel des gauches en 1924 lui permet cependant de revenir à Paris. C’est dans ce contexte d’espoir qu’il adresse, le 3 juillet 1924, une longue lettre au président du Conseil Édouard Herriot. Cette lettre, signée « en exil » pour rappeler l’injustice de la sanction précédente, constitue un véritable manifeste politique. Parmi ses demandes figure l’une des plus audacieuses : l’application de la loi de 1905 au culte musulman en Algérie, c’est-à-dire la mise en place d’une laïcité réelle, identique à celle en vigueur en métropole.En revendiquant pour les musulmans algériens la même liberté religieuse, la même autonomie des cultes et la même neutralité de l’État que pour les autres religions, Khaled se situe dans le prolongement de l’idéal républicain tout en dénonçant l’« exception coloniale » : en métropole, l’État est laïque ; en Algérie, il contrôle et subventionne l’islam pour mieux le surveiller. La réponse est un refus : même sous un gouvernement progressiste, la France préfère maintenir son emprise administrative sur le culte musulman.Ce geste de 1924 montre pourtant que dès l’entre-deux-guerres, certains acteurs musulmans — et non des moindres — réclamaient la laïcité comme principe d’égalité et de justice. L’émir Khaled, souvent considéré comme le premier nationaliste algérien, a donc été aussi l’un des premiers à défendre, explicitement, une laïcité appliquée aux musulmans, ouvrant un débat qui reste, aujourd’hui encore, d’une grande actualité. ... Voir PlusVoir Moins
Fidaa H., sociologue et écrivaine, s’inscrit dans une tradition intellectuelle façonnée par ses origines et par une culture musulmane qu’elle connaît de l’intérieur. Nourrie par une éducation où se mêlent héritage spirituel, pratiques communautaires et conscience des dynamiques sociales qui traversent les sociétés musulmanes, elle développe très tôt une sensibilité aiguë aux questions d’appartenance, d’émancipation et de coexistence.Fidaa H. fait de la laïcité un rempart, non contre une religion, mais contre toute forme de contrainte, et un outil d’émancipation permettant de penser un avenir partagé. À travers son exigence intellectuelle, elle contribue à réinscrire ce principe dans son ambition originelle : assurer la coexistence pacifique, le respect mutuel et la dignité de toutes les personnes, quelles que soient leurs croyances ou leurs appartenances. ... Voir PlusVoir Moins
Avec Fidaa H, sociologue et écrivaine. S’émanciper des assignations identitaires pour embrasser une compréhension universelle du principe de laïcité, s’emparer de ce dernier et en faire un re...
Le port du burkini dans les piscines municipales et sur les plages peut-il être autorisé ou au contraire interdit ? Le Conseil d'État a statué sur cette question en 2016 puis en 2022. Dans le doma...
L’article montre que, 120 ans après sa promulgation, la loi de 1905 — et le principe de laïcité qu’elle incarne — ne sont pas seulement des symboles historiques, mais un cadre vivant et partagé. Les chefs des grands cultes en France s’en font les défenseurs : dans un pays pluraliste, la laïcité assure le respect mutuel, l’égalité entre les croyances et la neutralité de l’État — éléments indispensables pour maintenir la paix civile et la cohésion nationale. ... Voir PlusVoir Moins
Partenaire de CIEUX, Les Amis de Givat Haviva - France représente ce lycée en Israël qui accueille des élèves israéliens, palestiniens et de toute religion dans le monde. Les Amis de Givat Haviva - France publie une interview en français de Anwar Abou Eisheh, ancien ministre de l'Autorité palestinienne et négociateur d'Oslo. Celui-ci répond sans langue de bois et en français aux questions posées par les journalistes Michel Taubmann et Emmanuelle Elbaz-Phelps sur sa vision de l'avenir et le rôle des Palestiniens dans le processus de paix. L'enregistrement est mis à la disposition des Amis de Givat Haviva - France par Shalom Salam, réseau international animé par Michel Taubmann. ... Voir PlusVoir Moins
0 CommentairesComment on Facebook
TROIS FILMS, TROIS FEMMES, UN MESSAGE : AUX OSCARS, LA PALESTINE NE SERA PAS EFFACÉEPar Libby Lenkinski, HaaretzL’auteur de la chronique met en lumière trois films récents, réalisés par des femmes de différents pays arabes, en lice pour des récompenses internationales telles que les Oscars. Selon elle, ces œuvres partagent un message commun puissant : elles contribuent à faire vivre et entendre l’histoire et l’expérience palestiniennes sur la scène mondiale, là où certaines représentations dominantes tendent à les marginaliser ou à les effacer.Les trois films et leurs créatricesThe Voice of Hind Rajab, réalisé par Kaouther Ben Hania (Tunisie), raconte la tragique histoire d’une fillette palestinienne tuée durant la guerre à Gaza. Le film met en avant la dimension humaine derrière les chiffres des victimes et donne voix à ceux qui sont souvent réduits à des statistiques. La projection du film dans de grands festivals a suscité une émotion intense.Palestine 36, réalisé par Annemarie Jacir, est un long métrage historique qui explore des moments clés de l’histoire palestinienne. Il recontextualise le présent dans une continuité sociale et politique souvent oubliée et replace la narration palestinienne dans un cadre plus large, au-delà des gros titres médiatiques.All That’s Left of You, réalisé par Cherien Dabis, suit plusieurs générations d’une famille palestinienne, soulignant le poids de l’histoire collective et la persistance de la mémoire face aux conflits et à la violence. Le film constitue une expression cinématographique forte d’une culture qui refuse d’être réduite au silence.Le message commun des filmsSelon la chronique, ces trois films, portés par des femmes créatrices, offrent une narration palestinienne directe, incarnée et profondément humaine. Ils ne se contentent pas de raconter, ils font voir et ressentir.En les présentant aux Oscars et autres cérémonies internationales, ces œuvres transmettent un message clair : la Palestine n’est pas un sujet effacé ou secondaire dans les récits culturels mondiaux. Ces films mettent en lumière des histoires humaines derrière des conflits politiques complexes, des histoires qui pourraient autrement rester invisibles pour un public international.Une lecture politique et culturelleL’article souligne que le cinéma devient ici un véritable espace de résistance narrative. Là où le discours politique peut rendre invisibles les expériences des Palestiniens, le cinéma les incarne et les expose sur une grande scène artistique.Le fait que ces films soient réalisés par des femmes est également mis en avant comme un élément fort de la prise de parole. Ces voix féminines restituent des histoires profondément humaines, précises et sensibles, et bousculent les attentes du spectateur. ... Voir PlusVoir Moins
0 CommentairesComment on Facebook
www.i24news.tv/fr/actu/international/moyen-orient/artc-le-hamas-a-dissimule-des-tonnes-de-lait-in... ... Voir PlusVoir Moins
Le Hamas aurait dissimulé des tonnes de lait infantile pour alimenter le récit de famine à Gaza - i24NEWS
www.i24news.tv
Le Hamas aurait stocké ces produits dans un entrepôt dépendant du ministère de la Santé à Gaza afin de renforcer son discours sur une famine orchestrée par Israël0 CommentairesComment on Facebook
www.france24.com/fr/info-en-continu/20251211-amnesty-accuse-le-hamas-d-avoir-commis-des-crimes-co... ... Voir PlusVoir Moins
Amnesty accuse le Hamas d'avoir commis des crimes contre l'humanité le 7-Octobre et par la suite
www.france24.com
Amnesty International a accusé jeudi pour la première fois le Hamas et d'autres groupes armés palestiniens d'avoir commis des crimes contre l'humanité, dont celui d'"extermination" lors de l'attaq...0 CommentairesComment on Facebook
Vous avez moins de 26 ans et souhaitez réaliser une mission de Service Civique à Paris jusqu'en juillet 2026 ?Candidater à l'annonce de l'ECUJE (Espace Culturel et Universitaire Juif d'Europe) en partenariat avec CIEUX, sur le site de l'Agence du Service Civique :www.service-civique.gouv.fr/trouver-ma-mission/ambassadeur-ambassadrice-du-lien-culturel-et-memor... ... Voir PlusVoir Moins
0 CommentairesComment on Facebook
www.lemonde.fr/international/article/2025/11/27/le-temple-angkorien-de-preah-vihear-endommage-par... ... Voir PlusVoir Moins
Le temple angkorien de Preah Vihear endommagé par les frappes militaires de juillet
www.lemonde.fr
Un archéologue décrit pour la première fois les dégâts subis par le site classé au Patrimoine mondial de l’Unesco lors des combats à la frontière entre la Thaïlande et le Cambodge, du 24 au...0 CommentairesComment on Facebook
www.france24.com/fr/vid%C3%A9o/20251209-ukraine-zelensky-rencontre-le-pape-et-pr%C3%A9pare-ses-pr... ... Voir PlusVoir Moins
Ukraine : Zelensky rencontre le pape et prépare ses propositions
www.france24.com
Une extension de votre navigateur semble bloquer le chargement du lecteur vidéo. Pour pouvoir regarder ce contenu, vous devez la désactiver ou la désinstaller.0 CommentairesComment on Facebook
Très joyeux anniversaire à Blandine en ce 9 décembre ! Blandine est la doyenne des volontaires. Pour être éligible au Service Civique, il faut avoir moins de 26 ans. Blandine a été recrutée par CIEUX le 9 septembre 2025, soit trois mois jour pour jour avant son 26ème anniversaire. Soit juste à temps pour accomplir un édifiant volontariat au service de la francophonie en Egypte, avec CIEUX et l'Institut français à Alexandrie. Photo : le 9 novembre 2025 au Lycée français d'Alexandrie : Blandine aux côtés du Proviseur Christophe Nerrand, de Bruno Jarry, Directeur des classes primaires, d'Odile et Alexandre Vigne, association CIEUX. ... Voir PlusVoir Moins
1 CommentairesComment on Facebook
Après son exil en Égypte, l’émir Khaled (1875-1936) — petit-fils du célèbre émir Abd el-Kader, figure majeure de la résistance à la conquête française puis grand penseur soufi — apparaît en 1924 comme l’un des premiers leaders musulmans algériens à défendre une véritable application de la laïcité dans l’Algérie coloniale.Issu d’une lignée prestigieuse et profondément attaché à sa foi musulmane, l’émir Khaled s’est engagé très tôt pour une meilleure intégration politique et civile des musulmans d’Algérie dans la République française. Volontaire au sein des goumiers du colonel du Jonchay, il se distingue durant la Première Guerre mondiale et reçoit la croix de guerre, ce qui nourrit son exigence d’égalité : les Algériens morts pour la France doivent, selon lui, être reconnus comme des citoyens à part entière.Sur le plan politique, Khaled est l’un des rares élus musulmans du conseil municipal d’Alger. À la tête de la Fraternité algérienne, il porte des revendications nouvelles, courageuses, parfois perçues comme subversives par l’administration coloniale : davantage de droits civiques, fin des discriminations, élargissement de la citoyenneté et respect des libertés publiques. Ses positions dérangent tant qu’il est exilé en Égypte en juillet 1923.L’arrivée au pouvoir du Cartel des gauches en 1924 lui permet cependant de revenir à Paris. C’est dans ce contexte d’espoir qu’il adresse, le 3 juillet 1924, une longue lettre au président du Conseil Édouard Herriot. Cette lettre, signée « en exil » pour rappeler l’injustice de la sanction précédente, constitue un véritable manifeste politique. Parmi ses demandes figure l’une des plus audacieuses : l’application de la loi de 1905 au culte musulman en Algérie, c’est-à-dire la mise en place d’une laïcité réelle, identique à celle en vigueur en métropole.En revendiquant pour les musulmans algériens la même liberté religieuse, la même autonomie des cultes et la même neutralité de l’État que pour les autres religions, Khaled se situe dans le prolongement de l’idéal républicain tout en dénonçant l’« exception coloniale » : en métropole, l’État est laïque ; en Algérie, il contrôle et subventionne l’islam pour mieux le surveiller. La réponse est un refus : même sous un gouvernement progressiste, la France préfère maintenir son emprise administrative sur le culte musulman.Ce geste de 1924 montre pourtant que dès l’entre-deux-guerres, certains acteurs musulmans — et non des moindres — réclamaient la laïcité comme principe d’égalité et de justice. L’émir Khaled, souvent considéré comme le premier nationaliste algérien, a donc été aussi l’un des premiers à défendre, explicitement, une laïcité appliquée aux musulmans, ouvrant un débat qui reste, aujourd’hui encore, d’une grande actualité. ... Voir PlusVoir Moins
0 CommentairesComment on Facebook
Fidaa H., sociologue et écrivaine, s’inscrit dans une tradition intellectuelle façonnée par ses origines et par une culture musulmane qu’elle connaît de l’intérieur. Nourrie par une éducation où se mêlent héritage spirituel, pratiques communautaires et conscience des dynamiques sociales qui traversent les sociétés musulmanes, elle développe très tôt une sensibilité aiguë aux questions d’appartenance, d’émancipation et de coexistence.Fidaa H. fait de la laïcité un rempart, non contre une religion, mais contre toute forme de contrainte, et un outil d’émancipation permettant de penser un avenir partagé. À travers son exigence intellectuelle, elle contribue à réinscrire ce principe dans son ambition originelle : assurer la coexistence pacifique, le respect mutuel et la dignité de toutes les personnes, quelles que soient leurs croyances ou leurs appartenances. ... Voir PlusVoir Moins
Conférence : Cheminement laïque d’une intranquille
www.paris.fr
Avec Fidaa H, sociologue et écrivaine. S’émanciper des assignations identitaires pour embrasser une compréhension universelle du principe de laïcité, s’emparer de ce dernier et en faire un re...0 CommentairesComment on Facebook
www.vie-publique.fr/eclairage/38383-burkini-et-creches-de-noel-decisions-du-conseil-detat-sur-la-... ... Voir PlusVoir Moins
Burkini, crèches de Noël et laïcité : les décisions du Conseil d'État
www.vie-publique.fr
Le port du burkini dans les piscines municipales et sur les plages peut-il être autorisé ou au contraire interdit ? Le Conseil d'État a statué sur cette question en 2016 puis en 2022. Dans le doma...0 CommentairesComment on Facebook
L’article montre que, 120 ans après sa promulgation, la loi de 1905 — et le principe de laïcité qu’elle incarne — ne sont pas seulement des symboles historiques, mais un cadre vivant et partagé. Les chefs des grands cultes en France s’en font les défenseurs : dans un pays pluraliste, la laïcité assure le respect mutuel, l’égalité entre les croyances et la neutralité de l’État — éléments indispensables pour maintenir la paix civile et la cohésion nationale. ... Voir PlusVoir Moins
« Une garantie pour la paix de la nation » : 120 ans après la loi 1905, les chefs de culte unis autour de la laïcité
www.leparisien.fr
EXCLUSIF. La loi de séparation de l’Église et de l’État fêtera ses 120 ans le 9 décembre. Pour en parler, nous avons réuni le cardinal Jean-0 CommentairesComment on Facebook